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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 17:05

tizi 1532918Des dizaines d’étudiants et de diplômés en langue amazigh ont organisé mardi un rassemblement devant la direction de l’Education de Tizi Ouzou pour réclamer un meilleur statut.

 

 

Un collectif d’environ 200 étudiants et diplômés en langue amazighe de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou a organisé mardi dernier un sit-in devant le siège de la Direction de wilaya de l’éducation pour exiger l’abrogation du caractère facultatif de l’enseignement de tamazight. Rassemblés devant le siège de la DE, les manifestants ont remis à la presse une lettre destinée au ministre de l’Education nationale, et dans laquelle de nombreux points de revendication sont mis en exergue.

 

Ces points se rapportent notamment à «la valorisation du diplôme de la langue et de la culture amazighes, à l’élargissement des recrutements pour les diplômés en tamazight lors des concours nationaux et régionaux ayant trait au domaine amazigh, le recrutement des candidats diplômés en la matière lors du concours de 2012, la levée  du caractère facultatif de l’enseignement de cette langue, la titularisation des enseignants dans les délais fixés par la loi, la fin des pressions à l’encontre d’enseignants, l’officialisation de l’usage de la graphie latine dans l’enseignement de tamazight, notamment dans les régions où elle est utilisée depuis 20 ans», etc.

 

Déployant des pancartes et des banderoles réclamant la valorisation du diplôme d’enseignement de tamazight, les manifestants ont été appuyés par des partis politiques (RCD, FFS), ainsi que par le MAK, des syndicats autonomes et des lycéens de la wilaya, selon les animateurs du mouvement.

 

Ces derniers, dans une lettre destinée au ministre de l’Education, indiquent qu’ils saisissent l’occasion du 33e anniversaire du printemps amazigh pour rappeler que «l’enseignement de la langue amazighe reste toujours facultatif et non généralisé ni au niveau du primaire, ni dans les CEM, ni dans les lycées, et ce, malgré son introduction dans la Constitution en tant que langue nationale. Ceci même dans les wilayas où la demande est exprimée, à l’instar de Tizi Ouzou, Bejaia, Bouira, Boumerdes…, alors que les diplômés et les licenciés en tamazight se heurtent quotidiennement à des portes fermées des académies».

 

Ce collectif «attend des initiatives audacieuses et un plan d’urgence, comme la généralisation de l’enseignement de tamazight à tous les niveaux, dès la classe du préscolaire». Un des intervenants dira que «tamazight est notre langue maternelle. Nous ne cesserons pas de lutter jusqu’à son rétablissement dans son droit naturel et nous allons lever les obstacles qui obstruent sa voie».

 

A rappeler que ce collectif a déjà organisé en décembre 2012 une action similaire dans la wilaya de Bouira et prépare d’ores et déjà d’autres sit-in analogues à Boumerdes et à Bouira dans les jours à venir. Ce collectif de diplômés a été créé en novembre 2011 pour lutter contre la marginalisation de la langue et de la culture amazighes et pour la valorisation de ce patrimoine ancestral.

 

Source: El Watan

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 17:35

« Les femmes au premier rang ! »

 

ODH Tizi-Ouzou: La fin tragique du ‘Drag’ de la wilaya de Mascara, Mr Drissi Abdelkrim, qui rappelons-le, durant l’après midi du lundi 22, s’est tiré une balle dans la bouche au sein de son bureau sise au sein du siège de la wilaya, a vu ce mardi matin les couloirs de l’administration vidé de sa substance humaine. Les fonctionnaires de la wilaya, pour la plupart des femmes ‘courage’, sont sorties de leur gong pour crier a leur manière la hogra et l’injustice dont ils se disent être victime de la part du premier responsable de la wilaya, en l’occurrence le wali de la wilaya, Mr Ould Salah Zitouni. L’enceinte du siège de la wilaya était à son comble au cours de cette matinée très particulière, ou la protesta était a son comble via des fonctionnaires des deux sexes, pour la plupart de la gente féminine qui ont scandés des slogans hostiles sur la personne du wali ou les termes suivants ont été cadencés tout au long de ce sit in , du style : ‘Wali Assass in’, ‘Wali Dégage’, ou le tout était écrit et enveloppé dans des écriteaux de fortune arrangées durant cette démonstration des plus impensables. Les services de sécurité tous corps confondus qui étaient présent en force pendant et après la ‘Protesta’, qui a eu lieu au devant le siège de la direction de l’administration générale ’Drag’, sont restés a carreaux pour ne pas envenimer davantage une situation des plus explosifs qui régnait dans l’air. Au carrée des femmes, des cris, pleurs, sanglots fusent de partout, dans l’autre coté de la barrière, quelques fonctionnaires courage déterminé a ne pas baisse les bras devant tant ’d’injustices’ et autres ‘dénigrements ‘ colportés par une toile d’araignée d’un entourage d’un wali pas comme les autres. Les contestataires, qui ont voulu par la suite marché vers le cabinet du wali, seront stoppé par un cordon sécuritaire ou gradé de la police, a usé de tous les subterfuges pour ramener a la raison les rebelles. Ces derniers, se sont par la suite diverger vers le siège de l’assemblée populaire de la wilaya (APW), sise a l’intérieur du siège de la wilaya ,ou cette auguste assemblée sera traité par les révoltés de tous les noms via une série d’étiquettes et autres quolibets dont on se refuse a en faire un thème de propagande. Dans tous les cas, les élus de l’assemblée populaire de la wilaya, qui ont été hués par les fonctionnaires au cours de cette journée du mardi 23, ont eu leur part de la flatterie de l’opprobre. Tous ont été précisés, sur la manière ou sont rivés les yeux des pseudo-élus qui ont signés de leurs sceaux le système rentier via la corruption et les coups bas grâce à une administration complice. Le plus pénible, a été d’entendre des slogans ou des élus ont été taxés de fils de harki, qui se sont partagé le gâteau et la cerise, et par conséquent ont séque stré l’assemblée populaire de wilaya. Des députés narcotrafiquants qui se sont refait une nouvelle virginité, ont été aussi du menu de cette controverse des plus ahurissantes. On peut dire que la terrible mort du ‘Drag’ a fait en sorte de dévoiler beaucoup d’affaires des plus exécrables qui ont ternis l’image de marque de la wilaya, plutôt une wilaya pilote ou des commis de l’état viennent se défouler a outrance pour en faire un terrain d’expérimentation des plus viles. Les spécimens ne manquent pas à ce sujet honteux que la wilaya de Mascara a vu des walis un peu ‘zinzin’ casser la bonne gouvernance grâce a la complicité de pseudos mouvements associatifs et autres sobriquets notables composés d’indus interlocuteurs provocants .


Notons, que le’Snappap’, qui était en force, a l’exemple du bureau de la section syndical des impôts, de l’administration locale, l’agriculture, la Das, ect …se sont structurés pour venir en renfort aux fonctionnaires rebelles. Des bus affrétés par des fonctionnaires de la wilaya prendront départ de la wilaya de Mascara vers Saida, et ce, pour assister a l’enterrement du défunt dans sa dernière demeure. 


Pour rappel, et selon les informations qui ont circulés au cours de cette malheureuse affaire ,que le suicide du directeur de l’administration et de la réglementation générale de la wilaya de Mascara, a eu lieu au cours de la tenue de la première assemblée de l’Apw, ou des pseudos élus et autres députés de la ‘Chekara ‘, qui sont passés maitre dans le blanchiment de l’argent sale, ont tenu des accusations gratuites au cours de cette séance des plus dégelasses a l’encontre d’un ‘Drag’ des plus ‘propres’.C’est l’avis, d’ailleurs de l’ensemble des fonctionnaires de cette direction. A l’unanimité, le défunt Driss Abdelkrim a été hissé en haut de la liste des incompris du système moribond, symbole de la hogra et la corruption généralisée qui sévit à tous les niveaux dans la wilaya de Mascara.


Enfin, une plate de revendication dont la rédaction de la ‘Nouvelle République’, du bureau régionale de la wilaya de Mascara a été destinataire d’une copie, émargée par une centaine de fonctionnaires des différents services, ou les rédacteurs du communiqué demandent en quatre articles, le départ pure et simple du wali, l’ouverture d’une enquête sur les causes exactes du suicide du ‘Drag’, sur la disparition de la lettre qu’aurait laissé le défunt avant son suicide par des mains occultes, et l’envoi d’une commission d’enquête présidentiel sur les lieux et non pas du ministères de l’intérieure ,et ce pour des raisons bien précises. Nous tenons à signaler que les fonctionnaires de la wilaya, qui tenaient t un sit- in, en s’en prenant avec des slogans hostiles, alors que celui-ci conversait avec certaine presse. Comme a son accoutumée, le wali de la wilaya de Mascara, a répondu a la sollicitation d’une certaine presse de ser vice pour revenir sur l’affaire du suicide du malheureux ‘Drag’. Pour conclure, qu’on ce qui nous concerne, c’est-à-dire ‘La Nouvelle République’ nous ne sommes sous tutelle de personne, ni autre association budgétivore a la solde de la wilaya. A bon entendeur t salut !

 

De Mascara, Manseur Si Mohamed pour l'ODH Tizi-Ouzou 

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 14:34

increase-online-securityODH Tizi-Ouzou: Et pour la deuxième fois, le procès du journaliste du site d’information Kabyle.com Benamghar Rabah, qui devait se tenir aujourd’hui au tribunal de Tigzirt a été reporté pour le 7 du mois de mars avons-nous appris.

 

Le journaliste Benamghar a été poursuivi en justice suite à une plainte pour diffamation déposée par Hachemani Mohamed, ex-P/APC de Mizrana, une localité en Kabylie maritime.

 

L’affaire remonte aux élections précédentes. Dans un article sur le climat de préparation des élections en Kabylie maritime, publié sur kabyle.com le 10 octobre, le journaliste a écrit "Dans la commune voisine du Mizrana, l’actuel président de l’APC (Assemblée populaire communale) d’obédience RCD conduirait une liste d’indépendants puisque son parti d’origine l’aurait écarté pour mauvaise gestion. Il jouerait ainsi les troubles fêtes et espérer barrer la route à ses anciens collègues du parti RCD envers qui il tient rancune et enfin espérer revenir aux affaires par une autre porte."

 

Madjid pour l'ODH Tizi-Ouzou

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 21:25

arton27639-60924‘Une mort qui pèse très lourd !’


ODH Tizi-Ouzou: Le directeur de l’administration de la réglementation générale et de l’administration, par abréviation ‘DRAG’, de la wilaya de mascara, Mr Driss Abdelkrim né le 18 mars 1954 à Saida, s’est donné la mort ce lundi 22 avril vers 13h10 dans son bureau, sise au siège de la wilaya.


Pour rappel, le Drag, qui avait assisté le jour même de cet horrible acte, était présent a la session de l’assemblée populaire de la wilaya ou selon des élus présents, aurait quitté la salle pour des raisons non encore déterminées, pour se refugier dans son bureau et de se donner la mort en se tirant une balle dans la bouche.


La victime avait entres autres exercés les fonctions de chef de cabinet dans la wilaya d’Illizi, puis drag dans la wilaya de Saida, et a Mostaganem, pour être enfin de compte installé dans les mêmes fonctions dans la wilaya de Mascara le 11/12/2011 par décret présidentiel du 4/3/2012.


Les raisons exactes de ce geste désespéré demeurent très floues, ou une enquête a été diligentée pour déterminer les discernements de cette grave affaire. Une commission d’enquête ministérielle de haut rang est sur le point d’être sur place, et ce, pour entendre les divers témoins et autres personnes qui ont directement ou indirectement incités la malheureuse victime à se donner la mort. Nous y reviendrons.

 

De Mascara, Manseur Si Mohamed pour l'ODH Tizi-Ouzou

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21 avril 2013 7 21 /04 /avril /2013 21:01

ODH Tizi-Ouzou : Les habitants du village de Tamaghoucht ont procédé aujourd’hui 21 avril dès le matin à la fermeture du siège de la daïra d’Ath Douala. L’action vient en guise de protestation contre la lenteur du lancement du projet de proximité de développement rural intégré, PPDRI, accordé au village depuis 2007.


Une longue liste de revendications a été élaborée par les citoyens : Les infrastructures de jeunesses, un centre culturel, un stade, une salle de sport, le revêtement de la route reliant leur village au chef-lieu de daïra, l’aménagement du cimetière du village et l’aménagement d’une stèle commémorative, dont l’inauguration est prévue le 05 juillet prochain.

 

Madjid pour l'ODH Tizi-Ouzou

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21 avril 2013 7 21 /04 /avril /2013 15:53

 

La Kabylie a célébré ce samedi 20 avril le 33e anniversaire du printemps berbère. A Bouira, plusieurs personnes ont été arrêtées par la police alors qu’elles participaient à la marche organisée par le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK) à l’occasion du 20 avril. « Il y a eu plus de 3 000 participants

et une vingtaine d’arrestations », affirme à TSA, Salim Bachouche, membre du Conseil national du MAK. La marche des étudiants et des militants du MAK s’est ébranlée de l’Université du Colonel Mohand Oulhadj jusqu’au siège de la wilaya, où les manifestants se sont rassemblés et ont exigé l’indépendance de la Kabylie et l’officialisation de tamazight. Des dizaines de manifestants ont tenté de briser la statue de l’émir Abdelkader installée, l’année dernière, dans le quartier Sayah, mais ils ont été empêchés par les forces antiémeute déployées en force sur place. Un journaliste du quotidien El Watan, Ali Cherarek, a également été arrêté alors qu’il tentait de prendre des photos.

Interpellations à Alger

Au centre-ville d’Alger, un dispositif spécial a été mis en place, dans la matinée, sur la rue Didouche Mourad près de la Faculté centrale, en prévision d'une manifestation d'étudiants voulant célébrer l’anniversaire du printemps berbère, a-t-on constaté sur place. Les agents de police ont procédé à quelques interpellations parmi les étudiants.

Le MAK et le RCD marchent ensemble à Béjaïa

À Bejaia, les militants du MAK et du RCD ont marché ensemble pour célébrer le 20 Avril et réclamer l’officialisation de tamazight. La marche s’est ébranlée de l’université Targa-Ouzemour vers le siège de la wilaya. Sous une pluie fine, les manifestants ont scandé à tue-tête des slogans contre le pouvoir.  Face au siège de la wilaya, un meeting a été organisé par les responsables du MAK et du RCD. Le MAK réclame l’autonomie de la région et le RCD revendique la décentralisation du pouvoir et la destitution du président Bouteflika pour cause de maladie.

Des milliers de personnes dans les rues de Tizi Ouzou

 


 

À Tizi Ouzou, les deux marches auxquelles ont appelé le MAK et le RCD pour célébrer le printemps berbère d'avril 1980 ont drainé entre 8 000 et 10 000 personnes, selon les organisateurs. Le RCD et le MAK ont marché séparément mais dans une parfaite communion. La marche des autonomistes kabyles s'est ébranlée à 11h du portail de l'université de Tizi Ouzou, où leurs militants, venus en grand nombre, étaient rassemblés depuis la matinée.

Les militants du RCD ont entamé leur marche, dix minutes après le départ de celle du MAK, sur le même itinéraire jusqu'à la place des martyrs du printemps noir, où les deux marches ont pris deux itinéraires différents. Celle du MAK a emprunté la grande rue alors que celle du RCD a pris le boulevard Houari Boumediene pour rallier la placette de l'ex‑mairie de Tizi Ouzou.

"Pour la reconnaissance de tamazight comme langue officielle", "Pour la solidarité et l'unité d'action", "Dans le respect de la pluralité", "Pour un État démocratique et social", "Pour la dissolution de la police politique" étaient les principaux slogans inscrits sur les banderoles du RCD, alors que sur celles du MAK on pouvait lire, entre autres, "Tamazight, l'autonomie, la paix", "justice pour les martyrs de Kabylie", "Non au harcèlement judiciaire de Ferhat Mhenni", "Stop à la dictature islamo‑arabe et mafieuse". Les deux marches se sont dispersées à 14h, dans le calme.

 

Source: TSA

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 20:35

L’ancien président du Haut Comité d’Etat (HCE), Ali Kafi, est décédé mardi à Genève des suites d’une maladie, a annoncé la présidence de la République dans un communiqué.

Afin de permettre aux membres des corps constitués et à la population de se recueillir à la mémoire du défunt, la dépouille de celui-ci sera exposée au Palais du Peuple, le mercredi 17 avril, à compter de 09h00 du matin. L’enterrement aura lieu le mercredi, après la prière du Dohr, au Carré des Martyrs, au cimetière d’El-Alia. Par ailleurs, le président Boutelfika a décrété un deuil de huit jours.

Parcours

Né le 17 octobre 1928 à M’souna, localité d’El Harrouch (Skikda), Ali Kafi a étudié à l’école coranique d’El-Kettania, à Constantine, où il a obtenu le diplôme d"’El Ahlia" (langue arabe). Il s’inscrit ensuite à l’Université de la mosquée d’El Zitouna à Tunis.

Après avoir milité au sein du PPA/MTLD, il a rejoint le maquis dans la wilaya II dès novembre 1954. Désigné par le PPA en qualité d’enseignant dans une école libre à Skikda, en 1953, Ali Kafi fut contacté par Didouche Mourad, avant le déclenchement de la guerre de libération nationale. Il milite d’abord à Skikda, puis rejoint les maquis du Nord-Constantinois (Zone II, devenue wilaya II après le Congrès de la Soummam en 1956). Sous les ordres de Zighoud Youcef, Ali Kafi participe aux offensives d’août 1955. Un an plus tard, il fait partie de la délégation de la zone II au congrès de la Soummam, et devient ensuite le dirigeant de la wilaya II (de 1957 à 1959), après le départ de Lakhdar Bentobal en Tunisie.

Promu colonel, il est nommé à la tête de la wilaya II et prend part aux congrès du CNRA en 1961 et 1962. En mai 1959, Ali Kafi est appelé à Tunis et devient un des dix colonels, qui vont réorganiser les instances dirigeantes de la Révolution (le GPRA et le CNRA).

Au cours de la crise de 1962, Ali Kafi se retrouve a rejoint le groupe d'Oujda, soutenant Ben Bella et le colonel Boumediene. A l’indépendance, Ali Kafi est nommé ambassadeur dans plusieurs pays, à savoir la Syrie, le Liban, la Libye, la Tunisie, l’Egypte, l’Irak et l’Italie.

En 1990, il a été élu secrétaire général de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM) en remplacement de Youcef Yaalaoui. Le 11 janvier 1992, il a été nommé membre du Haut comité d’Etat, installé après la démission du président Chadli Bendjedid. Il succède le 2 juillet 1992, en tant que président du HCE, à Mohamed Boudiaf, assassiné le 29 juin 1992. De 1994 à 1996, Ali Kafi reprend la direction de l’ONM, avant de se consacrer à l’écriture de ses mémoires.

Avec APS

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 22:27

logoooooben

 

Le procès du journaliste du site d’information Kabyle.com Benamghar Rabah, qui devait se tenir aujourd’hui, le 09 avril 2013 au tribunal de Tigzirt a été reporté pour le 23 du mois d’avril en cours avons-nous appris.


Le journaliste Benamghar a été poursuivi en justice suite à une plainte pour diffamation déposée par Hachemani Mohamed, ex-P/APC de Mizrana, une localité en Kabylie maritime.

 

Rabah Benamghar a été entendu par la gendarmerie de Tigzirt en novembre dernier. Il a confié à l’ODH Tizi-Ouzou que "c’est parce que j’ai dit que le maire aurait été écarté pour mauvaise gestion par son parti [le RCD] dans un article où j'ai parlé du climat de préparation des élections en Kabylie maritime" qu'il a été poursuivit en justice.

 

"Dans la commune voisine du Mizrana, l’actuel président de l’APC (Assemblée populaire communale) d’obédience RCD conduirait une liste d’indépendants. Son parti d’origine l’aurait écarté pour mauvaise gestion. Il jouerait ainsi les trouble-fêtes et espère barrer la route à ses anciens collègues du parti RCD envers qui il tient rancune et enfin espérer revenir aux affaires par une autre porte", a-t-il-écrit dans son article.

 

Toutefois, M. Rabah Benmaghar dresse un tableau noir en tirant la sonnette d’alarme sur le manque de militantisme et d’engagement citoyen. "Nous devons absolument être solidaire et se souder pour qu’on puisse combattre et évoluer dans nos professions", a-t-il ajouté. Enfin, il est clair que les correspondants et journalistes doivent s’unir, car ils sont confrontés, notamment les correspondants, aux mêmes pressions locales diverses : autorités, élus et politiques en mal d'autoritarisme. La lourde mission d'informer en toute impartialité est au prix donc d'une lutte permanente contre ces lobbyistes de tout poil. 

 

De Tigzirt : Mohammed Amrous

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 21:12
Forum-Social-Mondial.jpg
ODH Tizi-Ouzou: Après la tenue du Forum Social Maghrébin au Maroc « Bouznika et El Djadida », suivi de l’échec pour la réédition de cet événement en Algérie par le fait du refus sournois des autorités algériennes, voici la nouvelle Tunisie, sortie à peine de 40 ans de dictature et qui n'a pas encore fini de penser ses blessures, découlant de la révolution du jasmin, relever le défi en organisant le Forum Social Mondial 2013. A la lumière de cet événement qui a rassemblée des dizaines de milliers de personnes venus de tous les continents, les nouvelles autorités tunisiennes n'ont imposé aucune restriction politique et démocratique apparente susceptible d'entraver le bon déroulement des activités effectuées par les altermondialistes. En autorisant la tenue de cet événement de portée internationale, il est permit, me semble t-il, de dire que ce pays est sur la bonne voie qui le mènera vers la réalisation d'une véritable démocratie; tel n'est pas le cas pour certains pays du s/continent africain où l’autoritarisme et la dictature sévissent encore sous formes diverses.. 
 
A travers la Tunisie, l'Afrique du Nord ne peut que s'en féliciter pour cette rencontre altermondialiste ou tout un chacun et selon ses possibilités a pu, soit collectivement soit individuellement, s'exprimer librement et dénoncer la main mise des nantis de la planète sur les classes laborieuses, l'attitude du néocolonialisme à l'endroit de certains états qui souffrent encore de la mâle nutrition et de la famine qui frappe notamment le continent africain, la gouvernance dictatoriale et autoritaire de leur pays, l'unicité identitaire, linguistique et culturelle sous prétexte politique et religieux, la négation chronique d'autres identités, langues et cultures  fut-elles autochtone depuis des millénaires, la spoliation des terres palestiniennes par le sionisme soutenu  par l'occident, le droit à l'autodétermination des peuples encore sous dominations diverses, la pénétration  impérialiste sous forme économique et d'aide, la mauvaise répartition équitable des richesses, le peut d’intérêt accordé à l'écologie ainsi que les questions qui se posent dans certaines contrées de notre continent africain et dans le reste du monde ; à l’exemple de la Syrie, du Mali, etc……  
 
Pour ce qui est de l'Amazighité <Berbèrité> dans Tamazgha <<Berberie>> des assemblées et des ateliers ont été organisées par divers associations tunisiennes, libyennes et mondiales << Congrès Mondial Amazigh composé d'une délégation importante>>. Au sein de ces activités ont prit par d'autres mouvements Libyens,  Marocains, Mauritaniens, Égyptiens « Siwah »), l'Azawed <<Mali>>, le Subsaharien, les Iles Canaries ainsi que  des personnalités engagées dans la lutte pour le recouvrement de l'identité, langue et culture amazighe
 
Ce qui est de remarquable, c'est l'organisation d'un mariage traditionnel, amazighe, par les libyens aux alentours des facultés de sciences ainsi qu'une grandiose marche effectuée par les amazighes de Tamazgha à partir des facultés de droit vers les esplanade du FSM en entament des chants avec une prédominance du genre de Idir et de ses semblables, des slogans ayant cours dans certaines régions d'Algérie  ainsi que de la musique entamée à l'aide de la cornemuse et du tambour par les tunisiens et les libyens.
 
Au cours de cette marche un groupe de personnes s’est introduit en tentant d'imposer pacifiquement mais  résolument des pancartes sur lesquelles portésdes slogans à tendance d'unicité et non d'unité nationale, régionale, et du vivre ensemble dans la pluralité, la diversité et la différence. A l'instar de ces écrits, il y eut des slogans portés très haut et très intentionnés, mais face à l'importance de ceux qui prônaient l'unité dans les deux langues « Tamazight et l'Arabe, voir trois (avec le français) » considéré comme un butin de guerre, sans prédominance aucune, ils se sont étouffés.

De cet engouement politique pour le recouvrement constitutionnel  et institutionnel de l'identité langue et culture pluraliste « Tamazighte et l'Arabe » sans prédominance aucune, dans le cadre de l'unité des populations nationales et nord africaines, il est permis de dire que dans un avenir, espéré proche, que les deux langues (l'Arabe + Tamazight ou vice-versa) vivront officiellement unies, cote à cote dans les faits sans restriction aucune;  qu'elle soit organique, juridique, civile, constitutionnelle, institutionnelle ou autre. 
 
Madjid Ait Mohamed pour l'ODH Tizi-Ouzou 
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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 13:59

corruption2

« Les affaires de corruption de plus en plus en vogue ! »


ODH Tizi-Ouzou: Une autre affaire de corruption du style ‘trottoir’ vient d’être traiter par les services de la police judiciaire de la sureté de daïra de Tighennif, distante d’environ une vingtaine de kilomètres du chef lieu de la wilaya, ou le subdivisionnaire des services agricoles élisant agence a Tighennif a été arrêté en possession de 17.000,00 dinars.

L’affaire remonte dans la soirée du 1er avril, au sein d’une cafeteria situé dans ladite daïra ou le subdivisionnaire de l’agriculture répondant aux initiales de A.D , 49 ans, qui était attablé avec un cultivateur, s’est vu remettre une avance de 17.000,00 dinars sur un montant exigé de 100.000 dinars, et ce, pour permettre a cet agriculteur de lui faciliter la présentation de son dossier d’investissement, moyennant un ‘Bakchich’ devenu en vogue dans la wilaya de Mascara. Ce n’est pas nouveau : ce qu’il l’est, c’est l’explosion de ces pratiques dans cette région profonde de notre pays, notamment dans l’administration, ou pourtant ces derniers sont chichement payés, et qui demeurent intouchables. Depuis le mois de Janvier de l’année en cours, des affaires de corruption ont éclaboussées plusieurs administrations dans ce contexte navrant, qui ne cesse de ternir l’administration, ou les pouvoirs publics observent un black out totale concernant un fléau de plus en plus ravageur. 

A cette fin, de plus en plus infect, qui classe d’ailleurs, notre pays dans le bas tableau sur l’indice de perception de la corruption, ou le manque de concrétisation de la lutte contre la corruption en raison de l’absence de prérogatives d’enquête et d’investigation, le tout enveloppé dans un manque de sensibilisation contre ce fleau,qui risque a court terme d’ affecter la paix sociale de plus en plus compromise par des comportements non –éthiques des fonctionnaires de l’etat,et ce, à tous les échelles de la bonne gouvernance.

Enfin, l’indélicat subdivisionnaire des services agricoles de la daïra de Tighennif, qui a été présenté devant le procureur de la république du tribunal territorialement competent, ce matin 2 avril, a été écroué a la maison de rééducation de ladite daïra en attendant son passage devant la barre dans la semaine prochaine.

Pour conclure, il faut reconnaitre que la pratique de la corruption est généralisée, qu’il en a partout, mais c’est malheureusement uniquement les petites sardines qui payent les pois cassés dans cette pratique déloyale dans cette région profonde de l’Algérie. Qui a dit que la corruption existe a Mascara ? Et vous que ce que vous pensez ?

 

De Mascara, Manseur Si Mohamed pour l'ODH Tizi-Ouzou

 

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